La Cour de cassation (2e chambre civile, 16 déc. 2004, La jurisprudence automobile, janv. 2005) a par ailleurs estimé que le piéton renversé par une voiture après avoir franchi un talus, un garde-corps puis une murette en béton bordant la chaussée a commis une faute inexcusable exclusive de toute réparation.
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